Ainsi l’agriculture de conservation aurait un triple impact sur la
séquestration du carbone :
· Elimination
des pratiques du sol (labour et façon superficielles) qui contribuent
fortement à la libération de CO2
·Forte réduction du travail
mécanisé et donc les consommations de carburants agricoles, diminuants
ainsi l’émission de CO2
·Accumulation des résidus végétaux
qui se transforment en matière organique, laquelle est principalement
composée de carbone.De
plus le carbone est la clé de voûte de tous les cycles des minéraux et
conditionne la fertilité des sols par le pourcentage de matière organique.
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